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Papier brun froissé
Portrait d’une femme.png

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Le spectacle

En 1953 s’ouvre le procès de Pauline Dubuisson (Alias Sophie Auzanneau dans la pièce) accusée d’avoir assassiné son amant. Trente ans plus tard, l’auteur Michel Vinaver déconstruit la machine judiciaire, dans un texte structurellement poétique. Il utilise les fragments bruts des chroniques du Monde pour faire apparaître le trouble d’une France bousculée, hantée par l’Occupation. Matthieu Marie met en scène, sans autre artifice, 11 comédien.nes qui offrent une impossible reconstitution du portrait de cette femme. Coupable elle l’était, mais la vérité de Pauline Dubuisson trop ambitieuse et libre, restera cachée de cette justice partiale. La jeunesse au plateau et l’absence d’indicateur temporel mettent en évidence la porosité entre cette époque et la nôtre.

Texte Michel Vinaver

Mise en scène  Matthieu Marie

assisté par Amandine Voiron et Hervé Bellamy

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@Hervé Bellamy photos de répétitions

Distribution

La presse en parle

Théâtre du Blog

“Rien n’arrête le flux des séquences qui passent rapidement d’un lieu à l’autre et enjambent les époques. Les mots sont précis, les prises de paroles brèves et ce groupe de jeunes comédiens interprète ce texte d’un rythme nerveux, sans décor,  avec quelques accessoires pour changer de personnage.”

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Mireille Davidovici 

 

Friction

“Matthieu Marie agence avec ses onze interprètes dans un travail choral de toute beauté ; c’est effectivement – par-delà même du fait divers à travers les minutes du procès, notamment celles parues à l’époque dans Le Monde – le portrait en éclats d’une femme qui surgit avec une belle fluidité et que portent avec cohérence, rigueur et conviction les onze comédiens

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Jean-Pierre Han

Journal d’Armelle Héliot

"Il faudrait avoir le temps d’analyser ici dans la précision, ce travail remarquable. C’est une mise en scène fluide et vive, une direction d’acteurs très précise.

Il est rare de pouvoir applaudir un ensemble si convaincant. Mai-Juin est la saison de la jeunesse, au théâtre. Mais avouons que, pour anonymes soient-ils, on aimerait saluer chacun des onze, avec des mots précis.

Nous avons été frappé par l’harmonie de ce groupe de très jeunes interprètes. Le texte de Michel Vinaver procède par petites touches, des fragments recomposés d’après la longue étude des comptes-rendus du procès de Pauline Dubuisson. Un portrait qui surgit peu à peu, plus près d’un certain pointillisme que de l’impressionnisme. Ici, Pauline Dubuisson se nomme Sophie Auzanneau. Lou Dubernat lui prête sa personnalité séduisante. Le « personnage » est montré sous toutes ses facettes par Michel Vinaver. Il ne s’agit en rien de la réhabilitation d’une femme qui aurait été malmenée par la justice. Mais d’une quête, d’une reconstitution, d’un puzzle. On ne voit pas surgir une victime, mais un être complexe, une très jeune femme qui perturbe chacun, et qui est sans doute elle-même assez intérieurement bousculée.

 

Ici, chacun défend son personnage (référent d’une réalité revivifiée) avec finesse et énergie. Cela donne une « pièce » faite de « pièces » et qui accroche l’attention. C’est vif, intelligemment chorégraphié, et chaque jeune fait preuve, dans la réserve imposée par l’intelligent metteur en scène, de qualités attachantes.”

 

Armelle Héliot

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